Concernant le document, c'est déjà une bonne base. Je pense qu'il faut le coupler avec une définition plus précise des LOD: murs, menuiseries, niveaux... restent peut-être trop génériques. Par expérience, le fait d'être exhaustif peut paraître très contraignant au départ, mais c'est ce qui évite les interprétations de chacun et finalement tout le monde s'y retrouve plus facilement quand il a un doute. Par contre, il faut échanger avec les différents intervenants et ne pas hésiter à faire évoluer le document.
Si les intervenants sont connus et leurs logiciels aussi, la convention peut aussi détailler comment vont se faire les échanges, avec quels paramétrages d'import et export, la version IFC... Et dans tous les cas il faudra faire des essais simples de ces différents échanges pour s'assurer que cela fonctionne: l'écrire c'est bien mais quand ça marche bien c'est encore mieux!
L'exemple du géoréférencement, pourtant la base d'une bonne collaboration BIM, en est le parfait exemple: simple sur le papier mais pas toujours si simple à mettre en oeuvre entre différents logiciels.
Il faudrait aussi préciser quels sont les livrables remis à la MOA et quels sont ceux qui doivent être directement issus de la maquette et ce qui est fait autrement.